![]() ![]() ![]() Plutôt que d’emprunter aux Voyages, aventures et combats (1853) de Louis Garneray et à l’histoire du corsaire français Robert Surcouf, comme le veulent Knowles et Moore, The Rover apparaît ici comme une reconstruction de A Tale of Two Cities de Dickens. ![]() À l’instar de Knowles et Moore, il montre que la source de ce roman réside dans l’expérience personnelle de l’auteur et ses lectures mais alors que ces critiques voient en Peyrol ‘un auto-portrait de Conrad vieillissant faisant face à la fin de sa vie et de sa carrière’ (320), le frère de la côte apparaît ici comme le portrait du Conrad de 1916. Contrairement à la vision répandue selon laquelle Conrad, romancier par excellence de l’indirection, aurait adopté une méthode plus simple dans The Rover (1923), cet article soutient que dans ce roman, la méthode indirecte prévaut toujours. ![]()
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